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Jules Bordet, homme et génie - Thierry Appelboom

Jules Bordet, homme et génie - Thierry Appelboom

22,00 €Prix

Beau livre, 2019.
Hommage à l'occasion de l'attribution à Jules Bordet du Prix Nobel de physiologie et médecine
En coédition avec le Musée de la Médecine
de l'Université Libre de Bruxelles

64 pages en couleurs – nombreuses illustrations
Couverture cartonnée
ISBN: 978-2-8070-0204-3

E-books :
PDF :  978-2-8070-0205-0
ePub : 978-2-8070-0206-7
22,00 EUR
 

Jules Bordet a entamé une carrière de chercheur alors qu’il était encore étudiant à l’Université libre de Bruxelles. Deux ans après son diplôme, il a rejoint l’Institut Pasteur de Paris, où il a été en contact avec les pionniers de l’immunologie, avant de revenir fonder à Bruxelles l’Institut Pasteur du Brabant et y poursuivre ses recherches. Il a enseigné la bactériologie à l’Université libre de Bruxelles et est devenu membre puis président de l’Académie royale de Médecine et membre de l’Académie royale de Belgique. Ses découvertes ont – entre autres – permis la mise au point du sérodiagnostic. Il a également identifié avec O. Gengou le bacille de la coqueluche. Considéré comme le père de l’immunité humorale, il est, en 1919, lauréat du Prix Nobel de Physiologie ou de Médecine.
Le centenaire de l’attribution de son Prix Nobel est l’occasion de rappeler à travers une série de documents la remarquable carrière de ce grand chercheur.

 

Lien de l'ebook

En 1901, Jules Bordet rentre à Bruxelles et reprend ses recherches à l’Institut de Physiologie Solvay. Ces locaux où il s’installe provisoirement ont été mis à sa disposition par le professeur Paul Héger. À l’époque, son personnel ne comporte que trois chercheurs : lui-même, Octave Gengou et Lucien Hauman.
L’Institut Pasteur de Bruxelles
En 1905, son laboratoire est déplacé vers un nouveau bâtiment construit à son intention à l’initiative du Conseil provincial du Brabant sous le nom d’Institut antirabique et bactériologique du Brabant (1905), avant de s’appeler Institut Pasteur de Bruxelles avec l’autorisation de Madame Pasteur.
Jules Bordet y poursuit ses recherches et publie des travaux notamment sur la coqueluche, la coagulation, la diphtérie aviaire, la pleuropneumonie bovine, la conglutination, l’anaphylatoxine.
La direction de l’Institut sera assurée successivement par Jules Bordet, son fils Paul Bordet, Jacques Beumer, Frans de Meuter et Jean Content. 
Lorsqu’un journaliste du Pourquoi pas ? visite le laboratoire de Bordet, « il découvre une vaste salle céramiquée de blanc, des tables de lave émaillée, des linges immaculés, et des ouates neigeuses, des ampoules laiteuses allumant de leurs feux des verreries étincelantes, et des nickels miroitants… Il voit des tables disparaissant sous un entassement de tubes, de flacons, de pipettes et de plaques… au milieu une guérite abrite un microscope… de l’eau bout dans un poêlon où baigne une seringue… ».

 

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